La présentation insiste d’abord sur la montée en puissance de l’IAG dans les processus de recrutement et sur la manière dont les candidats l’utilisent pour valoriser leurs compétences. Elle met en avant des cas concrets d’appropriation, comme la création automatisée de CV personnalisés, la rédaction de lettres de motivation ciblées ou la simulation d’entretiens grâce à des outils conversationnels.
Un sondage étoffe ces exemples en démontrant la perception et l’enthousiasme des candidats face à l’IAG : la majorité déclare y recourir pour gagner du temps et optimiser ses chances de sélection, tandis qu’une minorité s’inquiète de l’authenticité des candidatures et de la pertinence des réponses générées.
Enfin, la présentation conclut sur la nécessité d’un encadrement clair pour tirer le meilleur parti de l’IAG, à la fois pour les recruteurs et pour les postulants. Cela inclut l’accompagnement des utilisateurs, la prise en compte de l’éthique (garantir une information fiable et équitable), ainsi que la mise en place d’outils de vérification pour éviter d’éventuelles dérives.














